Palais d'Hiver : Kyuden Ikoma
sur Pénombre au format (2.9 Mo)
Contient : condition (4)(...) - un artisan connaissant les goûts d'un ou plusieurs membres du jury peut tenter de les 'flatter' en incluant dans son oeuvre certaines variations, àcondition(au choix du MJ) que les modalités du concours permettent des improvisations vraisemblables. (...)
Celui des deux qui a le plus de points propose 'le pari de l'archer' à son adversaire : il lui demande de réaliser un tir difficile selon les modalités de son choix, àconditionqu'une flèche suffise pour réussir. L'autre finaliste doit alors s'efforcer d'atteindre la cible indiquée avant d'être à court de flèches. (...)
Bien évidemment, Toshi ne doit révéler la vérité à personne et dissimuler avec soin les tatouages Daidoji qui ornent ses bras. Il doit donc protéger un homme à son insu, sans son daisho et sans les avantages usuels de saconditionde samurai. Et on lui a clairement fait comprendre qu'il ferait mieux de ne même pas songer à échapper à son châtiment en se donnant la mort ou en arrangeant un 'accident social' qui amènerait un samurai à le tuer. (...)
Mais le fait est que ces mêmes méthodes ont généré des bénéfices suffisamment considérables pour contrebalancer les problèmes judiciaires en question. Aconditionde prendre un certain nombre de précautions... Après la débandade des armées de l'Outremonde à la suite de la mort du Sombre Seigneur, une dangereuse mais prospère industrie a vu le jour : certains groupes de maraudeurs gobelins, ogres et oni sont demeurés dans les frontières de l'Empire. (...)Préface : Kyuden Ikoma était à l'origine une simple introduction à une campagne de mon cru pour des pjs nouvellement créés qui s'y retrouvaient pour des raisons diverses. En la faisant jouer et en développant ses protagonistes, il m'a semblé qu'en proposer une version finalisée et rédigée à l'usage d'autres maîtres de jeu pourrait être une bonne idée. Le scénario d'origine a lieu cinq ans après le couronnement de l'empereur Toturi mais ne respecte pas la storyline officielle. J'ai cependant ...