Carthago Delanda est
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Préambule historique : La troisième guerre punique (149 -? 146 AV JC), conclue par la destruction totale de Carthage, confirma la suprématie romaine dans le bassin méditerranéen, ce qui permit à Rome de pratiquer une politique cynique et efficace, consistant à exploiter les rivalités entre les différents états de la Méditerranée. Les Romains entrèrent en contact avec les Grecs, d?abord en Italie méridionale puis en Sicile, et plus tard à l'est, adoptant une grande partie de l'?art, de la ...Contient : classe (10)(...) Italie, guerres puniques) provoqua une transformation profo,de et parfois tumultueuese de la structure sociale. Le fossé entre laclassedirigante romaine, toujours plus riche (noblesse patricienne) et le reste du peuple s'accentua, avec la création de vastes domaines (latifundia) employant une main d'oeuvre d'origine étrangère. Laclassedirigeante profita ainsi de l'ouverture de nouvelles routes au sein de l'empire, de la liberté d'échanges avec des marchés lointains, de l'expansion de la pratique de l'esclavage. (...)
Mais ces réformes provoquèrent l'hostilité des grands propriétaires, et déboucha sur l'assassinat des deux tribuns réformateurs et par l'opposition toujours plus violente entre les populares (ou démocrates) et les optimates (les aristocrates, avec les anciennes familles patriciennes et plusieurs familles plébiéiennes extrèmement riches), laclasseintermédiaire des chevaliers faisant le va-et-vient de l'une à l'autre au gré de leurs intérêts de nouveaux riches. (...)
L'évolution de Rome, Etat-cité, en empire (Etat territorialement étendu et maître de provinces riches et civilisées), par le biais de guerres longues et continuelles (guerres samnites pour le contrôle de l'Italie, guerres puniques) provoqua une transformation profonde et parfois tumultueuse de la structure sociale. Le fossé entre laclassedirigeante romaine, toujours plus riche (noblesse patricienne) et le reste du peuple s'accentua, avec la création de vastes domaines (latifundia) employant une main d'oeuvre d'origine étrange. Laclassedirigeante profita ainsi de l'ouverture de nouvelles routes au sein de l'empire, de la liberté d'échanges avec des marchés lointains, de l'expansion de la pratique de l'esclavage. (...)
Mais ces réformes provoquèrent l'hostilité des grands propriétaires, et déboucha sur l'assassinat de s deux tribuns réformateurs, et par l'opposition toujours plus violente entre les populares (ou démocrates) et les optimates (les aristocrates, avec les anciennes familles patriciennes et plusieurs familles plébéiennes extrêmement riches), laclasseintermédiaire des chevaliers faisant le va-et-vient de l'une à l'autre au gré de leurs intérêts de nouveaux riches. (...)
C'est lui, par l'intermédiaire d'une secte d'obédience carthaginoise, qui a fait assassiner le tribun, obstacle à ses yeux de reconstitution de la monarchie étrusque. Fulvius : En apparence, un sénateur aristocrate faisant partie de laclassedes Chevaliers. En fait, c'est un parfait illuminé qui a découvert à Pompéi dans sa résidence secondaire une pierre gravée. (...)
L'évolution de Rome, Etat-cité, en empire (Etat territorialement étendu et maître de provinces riches et civilisées), par le biais de guerres longues et continuelles (guerres samnites pour le contrôle de l'Italie, guerres puniques) provoqua une transformation profonde et parfois tumultueuse de la structure sociale. Le fossé entre laclassedirigeante romaine, toujours plus riche (noblesse patricienne) et le reste du peuple s'accentua, avec la création de vastes domaines (latifundia) employant une main d''uvre d'origine étrangère. Laclassedirigeante profita ainsi de l'ouverture de nouvelles routes au sein de l'empire, de la liberté d'échanges avec des marchés lointains, de l'expansion de la pratique de l'esclavage. (...)
Mais ces réformes provoquèrent l'hostilité des grands propriétaires, et déboucha sur l'assassinat des deux tribuns réformateurs, et par l'opposition toujours plus violente entre les populares (ou démocrates) et les optimates (les aristocrates, avec les anciennes familles patriciennes et plusieurs familles plébéiennes extrêmement riches), laclasseintermédiaire des chevaliers faisant le va-et-vient de l'une à l'autre au gré de leurs intérêts de nouveaux riches. (...)