Carthago Delanda est
sur Toc : Trouver Objet Caché au format
Préambule historique : La troisième guerre punique (149 -? 146 AV JC), conclue par la destruction totale de Carthage, confirma la suprématie romaine dans le bassin méditerranéen, ce qui permit à Rome de pratiquer une politique cynique et efficace, consistant à exploiter les rivalités entre les différents états de la Méditerranée. Les Romains entrèrent en contact avec les Grecs, d?abord en Italie méridionale puis en Sicile, et plus tard à l'est, adoptant une grande partie de l'?art, de la ...Contient : guerre (21)Carthago Delanda est Préambule historique : La troisièmeguerrepunique (149 -? 146 AV JC), conclue par la destruction totale de Carthage, confirma la suprématie romaine dans le bassin méditerranéen, ce qui permit à Rome de pratiquer une politique cynique et efficace, consistant à exploiter les rivalités entre les différents états de la Méditerranée. (...)
La crise des institutions fit apparaître une série d'hommes forts, principalement Marius, Cinna et Sylla. Mais la menace représentée par Jugurtha (prince numide) en Afrique, dont laguerretraîanit en longueur, contraint Rome à faire taire un temps les dissensions violentes entre populares et optimates pour en venir à bout. (...)
Suivant l'exemple des scénarios présentés dans le recueil « Etranges Epoques », voici un scénario se déroulant peu après les Guerres Puniques, impliquant des Romains contre les cultes Sombres, en l'an 654 de la République (99 AV JC). Préambule historique : La troisièmeguerrepunique (149 - 146 AV JC), conclue par la destruction totale de Carthage, confirma la suprématie romaine dans le bassin méditerranéen, ce qui permit à Rome de pratiquer une politique cynique et efficace, consistant à exploiter les rivalités entre les différents états de la Méditerranée. (...)
La crise des institutions fit apparaître une série d'hommes forts, principalement Marius, Cinna et Sylla. Mais la menace représentée par Jugurtha (prince numide) en Afrique, dont laguerretraînait en longueur, contraint Rome à faire taire un temps les dissensions violentes entre populares et optimates pour en venir à bout. (...)
Ses parents étaient de modestes artisans des faubourgs de Rome, et il s'apprêtait à prendre la suite de l'affaire de son père lorsqu'il fut emmené dans la légion, à 17 ans. Après 7 ans deguerreen Afrique du nord, sous le commandement de Cneius Maelius, il retourne à Rome pour découvrir que ses parents sont morts et leurs biens vendus. (...)
Issu d'une famille de riches commerçants, son enfance est consacrée à l'apprentissage des choses de laguerre, et de la politique, son mentor étant Caius Marius, personnage haut en couleurs de la politique romaine. (...)
Flavius Licinius : Un homme de main de Lucianus Cracius, un sénateur opposé à Caius Marius, et qui sera avec Sylla responsable de la chute de Caius Marius durant laguerrecivile une dizaine d'années après les événements du scénario. Un homme froid et intransigeant, âgé de 40 ans, qui entretient une garde privée à ses frais (Les gardes de Flavius Licinius sont connus à travers tout Rome pour leur brutalité). (...)
Il se vente assez souvent de ses richesses, ce qui ne cesse d'éveiller des convoitises. De réputation, il est connu pour avoir trempé dans plusieurs trafics louches, notamment avant laguerrecontre Jugurtha (trafic avec les Numides au temps où Jugurtha était encore un allié de Rome). (...)
Laevinia Scaeva : Issue d'une des plus prestigieuses familles patriciennes, Laevinia Scaeva se passionne pour la littérature grecque et romaine, et à l'occasion de le faire en réunissant un cercle de brillants esprits (au premier chef le petit fils de Caton l'ancien, disparu avant le début de la dernièreguerrepunique). Elle est très riche, mais ne fait pas de battage sur sa fortune comme Horodès. Accessoirement, elle est un des meilleurs agents de Caius Marius, et elle fournit de précieux renseignements politiques sur ses alliés comme sur ses ennemis. (...)
La villa du tribun (13 Avril Soir) : - Dans le bureau du tribun (tablinum, C) : Outre des trophées deguerregagnées lors des combats contre les ennemis de Rome (armure du premier lieutenant de Jugurtha, casque ibère, bouclier grec, épée numide) figure en une impressionnante collection de dieux provenant de tout le bassin méditerranéen (Ammon, Moloch Baal, Ra, Thot, Anubis ...), y compris les dieux de l'ancienne Carthage (Baal Moloch, une tête de taureau avec des ailes). (...)
Plusieurs livres rares y sont rangés, dont les rapports d'expédition en Afrique Noire remontant à la PremièreGuerrePunique (489 à 512 AR, 264 à 241 AV JC), où il est fait allusion à plusieurs peuplades noires dégénérées farouchement hostiles et primitives, ayant des relations étroites avec les Carthaginois, des parchemins de la main de Scipion Emilien, et le manuscrit de Tarquin le Superbe (avec de nombreuses pages écrites par les grands prêtres de Carthage, et quelques annotations du tribun). (...)
La pièce commence par une réception donnée par le Roi Philippe (le père d'Alexandre le Grand), alors que les préparatifs deguerrecontre l'empire perse sont achevés. Mais dans la nuit, le roi Philippe est assassiné dans son palais, alors que les convives sont toujours l'à festoyer (fin du premier acte). (...)
Entre le comportement suspect de la reine, du prêtre de Zeus criant à l'infamie et au scandale, les acteurs s'ingénient à montrer le comportement sombre et suspect de la plupart des invités de la réception, et la quasi incompétence des enquêteurs pour retrouver le ou les assassins, bien que le mobile le plus probable ait été découvert (empêcher laguerrecontre l'empire perse de Darius III Codoman) (fin du second acte). Le troisième acte s'ouvre sur Alexandre, en colère devant l'incompétence de ses enquêteurs, à qui il ordonne une mission difficile dans l'Empire Perse, pour retrouver les meurtriers de son père et empêcher que le plan d'attaque développé par son père ne soit dévoilé à son ennemi le Roi des Rois Darius III Codoman. (...)
fr) ou par téléphone au 01 64 48 69 63 (soir uniquement). Ce scénario est la suite de Carthago Delenda est. Préambule historique : La troisièmeguerrepunique (149 - 146 AV JC), conclue par la destruction totale de Carthage, confirma la suprématie romaine dans le bassin méditerranéen, ce qui permit à Rome de pratiquer une politique cynique et efficace, consistant à exploiter les rivalités entre les différents états de la Méditerranée. (...)
La crise des institutions fit apparaître une série d'hommes forts, principalement Marius, Cinna et Sylla. Mais la menace représentée par Jugurtha (prince numide) en Afrique, dont laguerretraînait en longueur, contraint Rome à faire taire un temps les dissensions violentes entre populares et optimates pour en venir à bout. (...)
Ses parents étaient de modestes artisans des faubourgs de Rome, et il s'apprêtait à prendre la suite de l'affaire de son père lorsqu'il fut emmené dans la légion, à 17 ans. Après 7 ans deguerreen Afrique du nord, sous le commandement de Cneius Maelius, il retourne à Rome pour découvrir que ses parents sont morts et leurs biens vendus. (...)
Issu d'une famille de riches commerçants, son enfance est consacrée à l'apprentissage des choses de laguerre, et de la politique, son mentor étant Caius Marius, personnage haut en couleurs de la politique romaine. (...)
C'est une manipulatrice dans l'âme. Lucius Verus : tribun de la plèbe depuis une vingtaine d'années, et héros deguerrecontre les Samnites et contre les Numides de Jugurtha, Lucius Verus est maintenant un homme établi, au teint un peu grisonnant, qui conserve certaines habitudes simples de ces ancêtres (point trop de lucre, économe avant tout). (...)
Il se vente assez souvent de ses richesses, ce qui ne cesse d'éveiller des convoitises. De réputation, il est connu pour avoir trempé dans plusieurs trafics louches, notamment avant laguerrecontre Jugurtha (trafic avec les Numides au temps où Jugurtha était encore un allié de Rome). (...)
Erasthène : grand philosophe stoïcien, Erasthène a dévolu sa vie à l'étude de ses concitoyens ou des étrangers pour en tirer une philosophie de la vie, qu'il ne cesse de ressasser. C'est pourquoi il ne cesse de s'intéresser aux actes de ses concitoyens, par temps deguerreou de paix. Il n'apprécie pas particulièrement les Romains, les accusant par occasion de tout les maux. (...)
- l'attaque de guerriers nubiens, aussi soudaine qu'imprévue, peu avant l'arrivée à Abydos. Ces derniers sont couverts de peintures deguerre, et plein de haine pour l'étrangère. Arrangez vous pour que les joueurs reçoivent la visite de la reine, qui ne sera donc que peu protégée. (...)