Carthago Delanda est
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Préambule historique : La troisième guerre punique (149 -? 146 AV JC), conclue par la destruction totale de Carthage, confirma la suprématie romaine dans le bassin méditerranéen, ce qui permit à Rome de pratiquer une politique cynique et efficace, consistant à exploiter les rivalités entre les différents états de la Méditerranée. Les Romains entrèrent en contact avec les Grecs, d?abord en Italie méridionale puis en Sicile, et plus tard à l'est, adoptant une grande partie de l'?art, de la ...Contient : temps (25)(...) Mais la menace représentée par Jugurtha (prince numide) en Afrique, dont la guerre traîanit en longueur, contraint Rome à faire taire untempsles dissensions violentes entre populares et optimates pour en venir à bout. La valeur de Maius et l'habileté de Syll y parvinrent (107 AV JC). (...)
Mais la menace représentée par Jugurtha (prince numide) en Afrique, dont la guerre traînait en longueur, contraint Rome à faire taire untempsles dissensions violentes entre populares et optimates pour en venir à bout. La valeur de Marius et l'habileté de Sylla y parvinrent (107 AV JC). (...)
Disposant d'un contact (un marchand grec) sur place, les aventuriers commencent leur enquête, assistent à une pièce de théâtre assez spéciale, reproduisant fidèlement les événements récents survenus à Rome (sous le couvert d'une pièce se déroulant autempsd'Alexandre le Grand, dans lequel tous les acteurs principaux meurent), pour finalement tomber dans un traquenard onirique (où la pièce se rejoue encore une fois, dans une Carthage onirique et punique) et finir prisonnier dans le Monde de l'Eveil dans l'ancien palais des Barcacides. (...)
Leurs répliques enflammées ont marqué quelques unes des grandes heures de la Politique et des débats populares/Optimates. Cependant, au fur et à mesure que letempss'écoule, les deux hommes passent de la haine la plus profonde à une sorte de respect mutuel, puis finalement à une amitié sincère. (...)
Sa carrière ne s'est pas arrêtée là, il a gravi les échelons, côtoyant les plus grands hommes de sontemps, les frères Gracchus, Marius, Sylla, Jugurtha. Il a participé à la campagne contre Jugurtha sous les ordres de son ami d'enfance Marius. (...)
N'ghai ! Ph'nglui mglw'nafh Yugus Surthus Athileus wgah'nagh fhtagn !), conclu par la phrase «La fin destempsest proche. Les ennemis de Rome sont réveillés. Carthago Delanda est ». Dans un dernier spasme, il expire, projetant son sang sur les aventuriers (jet de SAN). (...)
De réputation, il est connu pour avoir trempé dans plusieurs trafics louches, notamment avant la guerre contre Jugurtha (trafic avec les Numides autempsoù Jugurtha était encore un allié de Rome). Il a la cinquantaine passée. Il ne pose pas particulièrement de questions sur la raison de l'utilisation de ses navires, à partir du moment où il est payé en espèces sonnantes et trébuchantes, ou en faveurs et informations auprès / sur les grands de Rome. (...)
La momie est contrôlée par les bons soins de Rashar, le grand prêtre de la secte carthaginoise. Il a toutefois letempsd'écrire avec son sang les premières lettres de son assassin (S C A E V), ce qui peut désigner soit Laevinia Scaeva, soit Mucius Scaevola (fausse piste évidemment). (...)
A peine une heure plus tard, et devant quelques témoins, Caius Atilius s'écroule subitement au sol. Il a été empoisonné (grâce aux subtils talents de Sempronia, qui s'est prudemment esquivée en mêmetempsque Decius et Mucius Scaevola). Les quelques invités restants (au premier chef Quintus Aemilius et Flavius Licinius) y voient une manoeuvre de Decius et de Mucius Scaevola, et le font savoir aux aventuriers. (...)
Ils passent, nauséabonds et inaperçus dans les lieux solitaires où les Paroles ont été prononcées et les Rites ont été hurlés tout au long en leursTemps. Leurs voix jargonnent dans le vent, et Leur conscience marmonne dans la terre. Ils courbent la forêt et écrasent la ville, pourtant ni foret ni ville ne peuvent apercevoir la main. (...)
La pièce se termine par l'exécution des assassins, et le retour victorieux de Demetrios Antipater en Macédoine devant Alexandre le Grand. Demetrios a juste letempsd'effectuer son rapport, avant de s'écrouler, mort. Cette pièce n'est pas inconnue des aventuriers, et certains faits ou similitudes étranges (malgré le contexte historique modifié) vis à vis de leur récente enquête à Rome devrait leur mettre la puce à l'oreille, à savoir que tous les principaux acteurs de l'orgie, sont d'une manière ou d'une autre, présents dans la pièce. (...)
Créon et Anaxondas fait partie de ces 116 pièces perdues, et c'est cette pièce authentique de Sophocle qui a servi de base à la réadaptation autempsd'Alexandre le Grand. Après la fin de l'épilogue, les acteurs fatigués se retirent dans leur loge, tandis que les spectateurs commencent à s'en aller. (...)
- sur un jet d'Occultisme, concernant la texture du parchemin, il apparaît que celui-ci est rêche, avec detempsà autre des phénomènes d'irisation (arc en ciel fugitifs parcourant la surface du parchemin). Il n'y aucune trace de bavures pour l'encre. (...)
Ils sont surveillés par quatre carthaginois suréquipés (glaive, bouclier, armure moyenne). Le final dépend des actions de vos aventuriers, de votre bon vouloir et dutempsqu'il vous reste pour conclure ce scénario. Trois options paraissent envisageable, et c'est à vous de favoriser l'une de ces options (ou de les combiner) : - la fuite au profit d'une ruse (peut Etre en distrayant ou en séduisant les gardes) : Si leur plan d'évasion est ingénieux, et si fascinés par leur courage, les dieux décident d'influer en leur faveur, ils ont peut Etre une chance sérieuse de s'échapper du palais et d'alerter la légion romaine de Carthage pour nettoyer ce trou à rats. (...)
Il peut se contenter de les guider jusqu'' G'harne, en leur disant le strict minimum concernant cette cité, alléguant que c'est une cité qui menace la puissance de Rome tout comme Carthage l'a fait en sontemps. Athilea la cité perdue : Malgré la longue traversée du désert, ce voyage ne devrait pas poser trop de problèmes, du moment que les aventuriers pensent à organiser correctement leur voyage dans le désert (vivres, eau en suffisance). (...)
Mais la menace représentée par Jugurtha (prince numide) en Afrique, dont la guerre traînait en longueur, contraint Rome à faire taire untempsles dissensions violentes entre populares et optimates pour en venir à bout. La valeur de Marius et l'habileté de Sylla y parvinrent (107 AV JC). (...)
Leurs répliques enflammées ont marqué quelques unes des grandes heures de la Politique et des débats populares/Optimates. Cependant, au fur et à mesure que letempss'écoule, les deux hommes passent de la haine la plus profonde à une sorte de respect mutuel, puis finalement à une amitié sincère. (...)
De réputation, il est connu pour avoir trempé dans plusieurs trafics louches, notamment avant la guerre contre Jugurtha (trafic avec les Numides autempsoù Jugurtha était encore un allié de Rome). Il a la cinquantaine passée. Il ne pose pas particulièrement de questions sur la raison de l'utilisation de ses navires, à partir du moment où il est payé en espèces sonnantes et trébuchantes, ou en faveurs et informations auprès / sur les grands de Rome. (...)
Erasthène : grand philosophe stoïcien, Erasthène a dévolu sa vie à l'étude de ses concitoyens ou des étrangers pour en tirer une philosophie de la vie, qu'il ne cesse de ressasser. C'est pourquoi il ne cesse de s'intéresser aux actes de ses concitoyens, partempsde guerre ou de paix. Il n'apprécie pas particulièrement les Romains, les accusant par occasion de tout les maux. (...)
Après s'être dévêtu dans l'apodytérium (vestiaire), les aventuriers peuvent rechercher les serviteurs parmi les nombreux clients de l'établissement, dans les différentes salles (y compris les salles de massages). Il est donc particulièrement difficile de retrouver les dits individus qui réapparaîtront detempsà autre (laissez les se perdre dans les thermes), pour mieux attirer les aventuriers vers le Praefurnium, où un dénommé Dâdarshi est présent. (...)
- collecter des informations à propos des serviteurs de Marhabal Barca, dans les auberges ou auprès des artisans locaux. Cela suscite au mieux une écoute polie, au pire un désintérêt total (qui peut être suivi peu detempsaprès par une embuscade). Ces derniers, si les aventuriers réussissent à les faire parler (pas une mince affaire), parlent d'un labyrinthe aux sept entrées et de leur supérieur, qui correspond à la description de Marhabal. (...)
Mais le plus terrible est sans nul doute le portail vers d'autres sphères d'existence (Contrées des Rêves et Lointaines Planètes, parmi lesquelles Yuggoth, la planète d'origine des Mi-Go. La clé du passage est la Toison qui est jalousement gardée depuis lestempsmythologiques et uniquement utilisée par les Elus du Chevreau. Sans la toison, le labyrinthe est un lieu plein de danger, où il est rare d'en sortir vivant tant les habitants, animés d'une haine implacable contre l'Homme, sont féroces. (...)
Mettez en scène le face à face, puis la probable fuite désespérée vers le petit passage étroit. Peut être auront ils letempsde s'intéresser aux armes sur l'arbre, ou à sauver Libo Visolus et Ulfia. Laissez les faire, mais rendez leur la tâche assez compliquée, de par la présence du taureau dont ils auront plus d'une occasion pour sentir son halène fétide. (...)
Sachant que son tombeau se trouve à Deir El-Bahari, et que c'est le site de bataille où Sokar a été défait, il n'y a pas detempsà perdre. Deir El-Bahari, la dernière confrontation Avant de pénétrer dans le temple de Mentouhotep II, il est nécessaire d'affronter la dizaine de gardes postés là pour prévenir toute incursion dans le temple. (...)
Confiant dans les paroles de son conseiller (ne sachant pas qu'il désire avant tout la duper), la reine récite les paroles du livre des morts pour redonner la vie à Mentouhotep II, mais en mêmetempslibère Sokar, qui avait été vaincu une seconde fois par Mentouhotep II, qui est devenu dans la non vie le gardien de Sokar. (...)