Le Symbiosivore
Ce scénario étant extrêmement libre, il est plus facile de tout vous raconter d'abord et de voir ce que pouvez en faire ensuite. Toujours à la recherche de nouveaux moyens pour mettre en péril le fragile équilibre qui régit Animonde, le Bouffon est tombé, au hasard de ses investigations, sur des créatures habitant dans un plan d'existence parallèle. Leur grand intérêt est qu'elles se nourrissent d'énergie ...Contient : psychique (5)(...) Toujours à la recherche de nouveaux moyens pour mettre en péril le fragile équilibre qui régit Animonde, le Bouffon est tombé, au hasard de ses investigations, sur des créatures habitant dans un plan d'existence parallèle. Leur grand intérêt est qu'elles se nourrissent d'énergiepsychique, le support même de la symbiose et de tous les pouvoirs de gardien. Le Bouffon avait enfin trouvé le moyen de s'attaquer à ce qui avait causé la perte des Gardiens d'antan. (...)
En quelques mois, il avait créé la Porte, non sans un véritable massacre d'onzeurs, attirés par l'accumulation de cristaux. Il n'eut aucun problème à appeler un symbiosivore, la concentration d'énergiepsychiqueétant irrésistible pour la créature. Ainsi, les habitants de Ravensroke perdirent-ils petit à petit le contrôle de tous leurs animaux. (...)
Il se mit donc à construire des espèces d'antenne, permettant au symbiosivore de 'capter' à distance l'énergiepsychique. Il construisit une antenne à Ravensroke, une à Lysandra, une à Ligan, une à Hesbran et une à Enlibar. (...)
Pour le détruire on peut, soit lui balancer une cristallite sur le coin de la tronche, soit faire péter la Porte (privé de lien avec son plan d'existence, le symbiosivore dépérira). Le symbiosivore peut absorber l'énergiepsychiquedans un rayon de 500 kilomètres autour de chaque antenne. Ceci se traduit par un affaiblissement de l'énergiepsychiquedans la région (il ne s'occupe que d'une antenne à la fois, mais il alterne). Chaque fois qu'il pompe de l'énergie, toutes les personnes dans la région doivent faire un jet de symbiose avec un certain malus. (...)