Les Carnets de Yasminabad : l'oasis de Yasmina
sur Deadcrows Studios au format (20.4 Mo)
Contient : assassins (2)(...) La milice de Chafika Ibn Rachid Abd-al-Hassan y assure la sécurité, mais nul ici n'est tenu de répondre à l'autorité des cheikhs ou des kahini. Les voleurs et autresassassinsayant ainsi perpétrés quelques crimes intra muros - c'est-à-dire à l'intérieur de l'une des deux médinas - sont conduits dans le désert et abandonnés à leur sort, théoriquement bannis à jamais de l'oasis. (...)
Dès lors, la magie pratiquée ici passerait par le meurtre sacrificiel de l'être aimé et par le pouvoir que l'on tirerait du chagrin en découlant. Inconsolables, les sorciers de l'Al-Alaeddine ne sont pas perçus comme desassassinscruels mais comme des êtres sensibles, ravagés par la tristesse au nom de la foi. La compassion anime chaque habitant de l'Al-Alaeddine à l'encontre de la caste noble. (...)Histoire : La légende de Yasmina. En 2501, deux frères saabi, tous deux proches neveux du prophète Hassan, tombèrent amoureux de la même femme. Celle-ci était si belle qu'on la prétendait inhumaine, sans doute issue de l'amour d'un homme et d'une déesse. C'était le temps où les dieux marchaient encore sur la terre, cela paraissait possible. Yasmina, c'est ainsi qu'elle se nommait, était danseuse dans une petite oasis située dans l'un des endroits réputés pour être les plus dangereux ...