Antoine
sur Eastenwest
Contient : magiques (4)(...) Michael est devenu arkaim depuis très très peu de temps et les notions de talents, de charges analogiques, spontanées etmagiqueslui sont assez étrangères. De même, Michael est le premier arkaim que les PJs rencontrent. En fait, cet aspect de l'histoire peut s'avérer crucial : mieux les PJs comprendront la nature de l'arkaim plus ils pourront minimiser les dégâts créés par Antoine dans l'Akasha. (...)
En fait, ce sont 3 R+C, rompus aux Technès de l'esprit, et ils ont employé l'une d'entres elles qui fait qu'inconsciemment chacun se tait plus ou moins sur le sujet « Antoine ». Les moyensmagiquesdes PJs leur permettront sûrement de passer cet obstacle. S'ils identifient les R+C et les interrogent, ils pourront apprendre la localisation de la maison de campagne, la trouver, mettre la main sur Mme Finatelli et trouver des preuves de la captivité d'Antoine. (...)
A de rares exceptions les chimères de Lune sont les « méchants » des histoires : ils sont fourbes, cruels mais aussi incompétents (en tout cas au moins à un moment donné pour que les bonnes chimères puissent les battre) et ridicules. Les lois physiques etmagiquessont altérées de façon à rendre la réalité plus « toonesque » : les effets sont beaucoup plus spectaculaires mais aussi moins meurtriers. (...)
Rappel : Les sciences occultes fonctionnent différemment dans les Akashas : - La magie fonctionne quasi normalement dans ses effets mais différemment dans la source de champs magique : les akashas sont des bulles de champsmagiques. Donc le sort ne peut puiser son énergie que dans la structure d'Akasha lui-même : chaque sort a un coût précis, un sort de feu de petit niveau soufflera une torche non loin de là tandis qu'un sort de feu de 3e cercle très réussi risque de plonger le pays dans un hiver précoce en le privant de sa chaleur. (...)Ce scénario est plus un cadre, un contexte, qu'un scénario. Je veux dire par-là qu'il est extrêmement ouvert : le thème central est le « sauvetage » d'un jeune orphelin, Arkaim, qui s'ignore. La première partie est conventionnelle et ne devrait pas être trop complexe. Au terme de celle-ci, les PJs se retrouvent dans un Akasha qui a pour atmosphère l'enfance, les contes, dessins animés... Dans la mesure où chacun à un minimum de souvenirs des séries, contes ou héros qui ont bercé sa jeunesse, je n'ai ...