Répertoire géographique de l'Arabie : Les Royaumes
du Désertsur Le Sablier Eternel au format (690 Ko)
Contient : cité (56)(...) • 1212 : Le sultan Daryus El Qabir ordonne le début de la conquête de l'Estalie par les forces armées arabes • 1225 : Après de longs mois de sièges, lacitéestalienne de Bilbali tombe aux mains de l'armée arabe. • 1342 : Après avoir occupé pendant près d'un siècle la quasi totalité de l'Estalie (à part le royaume de Magritta) les forces arabes débutent le siège de la ville bretonienne de Brionne • 1347 : Défaite de l'armée arabe en Bretonnie face aux forces commandées par Roland de Chinon • 1450 : Une armée conduite par le Sultan Jaffar envahit le royaume d'Astarios et prend Magritta. (...)
• 1457 : Magritta est reprise par l'armée d'Astarios • 1552 : Après deux années de guerre, les pirates arabes sont expulsés de l'île de Sartosa par lacitéde Luccini. • 1666 : Le Sultan Muhamat V organise une campagne victorieuse dans les Badlands contre les clans gobelinoïdes • 1712 : Raid et installation de troupes arabes de l'Emirat de Teshert dans les principautés frontalières. (...)
Zone d'influence : Le culte de Sangrif est surtout présent dans les grandes cités portuaires de l'Ouest de la péninsule arabique. Ce culte est particulièrement populaire chez les pirates de lacitéd'Al Haïkk et les marins de Abu Hamed. Jours sacrés : Il n'y a qu'un seul jour sacré dans le culte de Sangrif : il s'agit du premier jour de l'année, en souvenir du début de la guerre contre les royaumes du Vieux Monde (la légende raconte que ce serait Sangrif qui aurait incité le Sultan El Qabir à déclencher cette guerre). (...)
La loi en Arabie : En Arabie, les jurés des tribunaux sont des religieux, choisis par les Imams de lacitéet des officiers choisis par le Calife ou l'Emir. La loi est la même dans toute l'Arabie. C'est la loi divine d'Ormazd. (...)
Le Grand Sultan luimême est protégé par un corps d'un cinquantaine de guerriers kamaluk : La Garde Noire du Sultan Les plus grands marchés aux esclaves se trouvent dans les grandes villes portuaires du Nord de l'Arabie. Ainsi, lacitépirate d'Al Haïkk abrite le plus important marché aux esclaves de toute l'Arabie, de riches propriétaires venus de toute la péninsule y font leurs emplettes Type d'esclave Origine Prix moyen : Esclave robuste destiné aux travaux manuels Arabie 350 D Esclave robuste destiné aux travaux manuels Terres du Sud 450 D Esclave robuste destiné aux travaux manuels Vieux Monde 250 D Belle femme Arabie 1500 D Belle femme Vieux Monde 2000 D Esclave lettré ou scientifique Toutes origines 800 D Esclave destiné à devenir gladiateur Toutes origines 1000 D Esclave destiné à l'artisanat Toutes origines 600 D Esclave destiné aux galères Terres du Sud 400 D Esclave destiné aux galères Arabie 300 D Esclave destiné aux galères Vieux Monde 250 D Très jeune esclave Toutes origines 200 D Vieil esclave ou estropié Toutes origines 100 D. (...)
Il est fréquent que ceux qui survivent à leur service (ou désertent) deviennent des pirates (pour le compte de lacitéde Al-Haïkk notamment) Les Arts, les sciences et les distractions en Arabie : L'éducation en Arabie : L'éducation en Arabie est une affaire religieuse. (...)
A cause de cette catastrophe, les historiens arabes ne parviendront sans doute jamais à trouver la mythiquecitéde Nefernéda. Mais on murmure dans certaines Madrasa que des parchemins datant de l'époque de Fahal Sum auraient pu être sauvés et se vendraient à prix d'or. (...)
Dans toutes les grandes villes du nord de l'Arabie a lieu une course spéciale chaque année, opposant des chevaux représentant les différents quartiers de la ville : c'est l'Aïd El Saar Les chevaux sont menés en procession à travers toute lacitéparmi une foule en liesse. Cette course (se déroulant à la fin de la saison sèche) est souvent le théâtre de bagarres de rues parfois très violentes. (...)
Les navigateurs du Vieux Monde viennent y vendre leur marchandise et un bureau de vente est à leur disposition afin qu'ils prennent connaissance des marchandises à vendre et des cours des différents marchés. A l'arrière du port se trouve lacitéde Siwa. C'est un amas de ruelles séparées par des habitations souvent peu solides, faites de bois et de torchis blanchi à la chaux. (...)
la ville de 5 000 habitants est construite autour d'un grand lac dont les eaux sont sacrées. Des murs entourent lacitéet permettent de contrôler les nombreux voyageurs et nomades qui séjournent à Mendaï. Le bâtiment le plus important de la ville est le Ribat, abritant environ 200 Mudjahids dont le chef (le Malik) est Ibn Sahid. (...)
Les principales villes de l'Emirat de Teshert : Teshert : C'est la capitale de l'Emirat (et la seule grandecité: 35 000 habitants). Teshert est avant tout un centre de stockage et de répartition des denrées agricoles produites dans la région du delta. (...)
Ces quais de pierre blanche peuvent accueillir de très nombreux navires de fort tonnage et ses chantiers navals (les seconds d'Arabie après ceux de Al Haïkk) sont très réputés. La plupart des navires de guerres du Sultan sont sortis des chantiers navals de Meknès. Lacitéest la seule avec celle de Baskra à posséder plusieurs cales sèches assez grandes pour équiper et réparer les plus gros galions du moment. En dehors de son port militaire, lacitéde Mèknès abrite un port de commerce très actif. La ville exporte de la pierre de taille et de l'huile d'olive (les oliviers sont très nombreux sur le littoral) et importe beaucoup de céréales qui font défaut à l'Emirat. (...)
Une partie du littoral de la baie est réservé à la flotte de guerre de l'Emir (une petite flotte composée d'une dizaine de galères) et accueille parfois les navires de l'armée du sultan. Le reste de lacitéressemble beaucoup aux autres villes d'Arabie : Ruelles étroites et ombragées, quartiers aux identités socioprofessionnelles très marquées, abondance de temples d'Ormazd, dont le principal est situé en face de la citadelle de Copher. (...)
Les principales villes du Califat de Kufra : Abu Hamed : C'est une des plus belles et des plus grandes cités arabes. Les voyageurs l'appellent « LaCitéPourpre » en raison de ses murailles et de ses bâtiments construits avec une pierre rouge arrachée à la falaise. (...)
Les 75 000 habitants d'Abu Hamed jouissent de la prospérité de la ville : Les pauvres y sont peu nombreux car le travail ne manque pas et les richesses affluent. La vie de lacitéest réglée par un conseil de dix membres élus au suffrage censitaire par les citoyens mâles de la ville. (...)
En 2510, c'est le respectable Ibrahim Al Kalish (un des plus riches marchands de la ville) le conseil a la charge de nommer les juges de quartiers, les commissaires du port et le commandant en chef de la milice (forte de 700 soldats). Les bâtiments de lacitése démarquent par la qualité de leur architecture et par leur ancienneté (certains édifices comme le grand temple ou le palais du Calife sont vieux de près de 1500 ans ! (...)
Pour garder le contrôle de ses sujets, l'Emir dispose d'une flotte de guerre puissante (plus de 50 galions lourdement équipés) d'une armée d'environ 500 soldats bien entraînés et d'autant de mercenaires. Il ne faut pas croire cependant que tout l'Emirat de AlHaïkk soit un repère de pirate. Seule lacitédu même nom est tournée vers cette activité. Dans le reste de l'Emirat, la piraterie est interdite. Les principales villes de l'Emirat de Al-Haïkk : Al-Haïkk : « Lacitédes pirates ». Par bien des aspects, cettecitéportuaire ressemble à celle de Sartosa (cf Le Grimoire Tome 17). La piraterie y est une institution réglementée et tout le commerce de la ville dépend de cette activité. (...)
Al-Haïkk est une très grande ville, abritant derrière ses hauts remparts de pierre blanche une population estimée à presque 50 000 âmes. Lacitéest un labyrinthe de ruelles ombragées, encombrées d'étales divers. Le port est le coeur de Al-Haïkk. (...)
Gare aux mauvais payeurs, le service d'ordre est assuré par des eunuques à la force proverbiale. Mais il ne faut pas croire que cettecitésoit une zone de non droit. Une milice bien armée y fait régner l'ordre. Les 400 soldats qui la composent sont sous les ordres du Ka'id Suleyman Firam, nommé par l ‘Emir. Il est l'un des 5 hommes qui forment le Conseil de laCité. Les quatre autres sont le commissaire des enchères (Ibn Alran Assan), l'intendant de justice (Marat Al Musabar), Le commissaire du Marché aux Esclaves (Imad Al Zanki) et le capitaine du port (Tarik Al Médi). (...)
Cette justice, aussi cruelle qu'expéditive garantie la cohésion sociale et le calme (relatif) de lacité. L'alcool n'est pas interdit à Al-Haïkk et les tavernes peuvent proposer de la bière de l'empire, du vin Tiléen ou Bretonnien, ou encore de l'alcool de datte pour accompagner l'opium souvent fumé en ces lieux. On peut se demander pourquoi une tellecitén'a pas encore été rasée par ses puissants voisins (qu'ils soient du Sultanat, de Kufra ou de Mahabbah). (...)
D'autre part, l'Emir de Al-Haïkk dispose d'une armée et d'une flotte bien entraînée ; il est de surcroît assez riche pour engager des centaines de mercenaires si un conflit venait à le menacer. La religion prend peu de place dans lacité. Il existe bien une cinquantaine de temples dédiés à Ormazd mais dans les quartiers populaires, les caves sombres ouvrent parfois leurs portes sur des oratoires destinés à prier Sangrif ou Khaine. (...)
Les combats et les courses qui s'y déroulent sont réputés dans toute l'Arabie. Pour résumer, Al-Haïkk est unecitéatypique, violente, passionnée et cruelle. On peut y faire fortune le matin et y être assassiné le soir. La roue tourne vite dans lacitédes pirates... Baskra : A moins de 100 km de Al-Haïkk, lacitéportuaire de Baskra est entièrement tournée vers le commerce. Grâce à la présence de sources et à l'installation de systèmes d'irrigation performants, les alentours de la ville sont parsemés de vergers, d'oliveraies et de palmeraies. (...)
C'est un territoire dont l'essentiel de la population se concentre sur le littoral et en particulier autour de la grandecitéde Mahabbah. Comme son voisin Al-Haïkk, le califat de Mahabbah est entièrement tourné vers la mer. (...)
Une assemblée composée des hommes les plus riches du territoire fixe avec le calife les règles d'organisation de lacité. Les juges sont élus tous les ans parmi cette assemblée. Chaque secteur de métier est structuré en guilde, comme dans le Vieux Monde, mais les chefs des guildes sont élus tous les ans (pour éviter le clientélisme) lors d'une assemblée réunissant chaque corps de métier. (...)
L'activité économique tourne autour du port de commerce et des nombreuses tanneries que compte la ville. Cettecitéde 40 000 habitants est une véritable forteresse : Les remparts qui enserrent la ville sont aussi vieux que gigantesques : L'enceinte mesure près de 25 mètres de haut et est tellement ancienne que certains historiens la feraient remonter à l'époque de Fahal Sum (il y a plus de 3 500 ans). (...)
Mahabbah est une ville réputée pour son taux de criminalité très faible : Une garnison municipale forte de plus de 500 hommes fait régner l'ordre dans lacitéet dans le Funduk (quartier strictement réservé aux étrangers). Le Ka'id Kali Al Massati dirige cette garnison. (...)
Mahabbah dispose d'un port de grande capacité, divisé en 4 parties : le port réservé aux navires étrangers (devant le quartier du Funduk), le port de pêche (très restreint), les chantiers navals et le grand port de commerce où les navigateurs arabes chargent et déchargent des marchandises venues de toutes les régions du monde connu. Lacitéexporte essentiellement du marbre, du cuir et de la poterie. Le dirigeant de lacitéest le gouverneur Hadji Ibn Maskan, nommé par le calife dont la résidence est un palais plutôt modeste, mais gardé comme une forteresse. El Mansurah : En plein désert, à plus de 130 km au sud de Mahabbah, la ville d'El Mansurah a été implantée sur l'oasis du même nom, à proximité d'une immense carrière de marbre, exploité depuis plus d'un siècle et demi. (...)
La ville compte 15 000 habitants mais ce chiffre fluctue à cause du nomadisme des éleveurs qui transitent très souvent par lacité. La ville est entourée de remparts et grâce à la présence d'un lac naturel, une agriculture intensive a pu se développer par le biais de l'irrigation. Lacitéest donc entourée d'une ceinture verte de près de deux kilomètres de rayons, où l'on cultive céréales, olives et fruits divers. (...)
Le seul point d'eau situé à moins de 80 Km est El Mansurah (à 20 Km). Outre l'agriculture et l'exploitation des carrières de marbre, lacitéest un lieu de vente de bétail très important. Le cuir est également acheté ici, avant d'être envoyé dans les tanneries de la côte. (...)
Il a sous ses ordres une garnison de 150 soldats, dirigés par le Ka'id Ahmad Al Rifa. Simyra Petitecitésituée à l'Ouest du Califat, Simyra est un oasis abritant une communauté de 5 000 habitants, dont les spécialités sont la poterie (grâce à la présence de terre argileuse) et l'élevage de chevaux. (...)
Il présente donc un visage de désolation, seuls quelques rares puits permettent aux voyageurs de traverser ces étendues désertiques. Au coeur de ce paysage, le voyageur pourra apercevoir les ruines de l'immensecitéde Iskandérès : Cettecité, bâtie vers l'an 1000, fut autrefois une capitale régionale très importante. Elle fut entièrement détruite lors de la guerre qui opposa Ghafsa au Califat de Kufra au 20ème siècle. (...)
Le bâtiment principal de la ville est le Grand temple d'Ormazd, situé sur une place d'où partent les principales artères de lacité: Son architecture est originale : C'est une vaste cour carrée d'un hectare environ, entourée de gigantesques arcades. (...)
Il est choisi par le Directoire et nomme les principaux responsables du maintien de l'ordre dans lacité. La garnison de la ville (450 soldats) est dirigée par Tadji Suyuti. Tarasselmen : C'est le principal centre agricole du Califat. La ville de Tarasselmen est située au coeur du désert vert, à environ 80 km de Ghafsa. Lacitéest également le centre des infrastructures d'irrigations de la région. 5 grands puits y ont été creusés. (...)
la ville est défendu par une garnison forte de près de 100 hommes dirigés par l'âme damnée de l'Emir : l'infâme Abdul Raza (un nécromancien cachant bien son jeu). Arrasfez : Seconde ville du royaume, Arrasfez ne dépasse pas les 10 000 habitants. Cettecitéfluviale est protégée à l'est par des remparts et à l'ouest par le fleuve. La ville est un centre de stockage des denrées destinées à l'exportation et à l'approvisionnement de la capitale. (...)
Les principales villes de l'Emirat de Debeqra : Debeqra : La capitale du territoire est une antiquecité, s'étendant sur les deux rives du fleuve Dalar Missa, au fond de la baie du même nom. La ville est très ancienne car elle fut un comptoir de l'empire de Durbaïta (la civilisation du Fleuve Rouge) il y a plus de 3000 ans. (...)
la ville actuelle de Debeqra est moins grandiose, bien que de dimensions respectables : les 17 000 habitants de lacitésont réfugiés derrière de hautes murailles de briques et de pierres. Un port abrite la flottille de guerre, quelques navires de commerce et les barques des pêcheurs. (...)
Il faut reconnaître que du fait de la rudesse du climat et de la végétation ( l'intérieur des terres est un désert de rocaille) les habitants de l'émirat on peu de sources de revenus. L'émir Ben Akham réside dans un fortin de pierre surplombant la ville portuaire de Al-Anaïm. Cettecitéest la capitale de la flibuste : on y dénombre pas moins de 25 groupes de flibustiers parmi une population de 10 000 habitants. (...)
Chaque année, l'émir nomme un intendant, chargé de diriger les ventes qui ont lieu régulièrement dans le Grand Hôtel (sorte d'immense hangar doté de gradins). Les émirat voisins viennent s'y approvisionner en esclaves. Secondecitédu pays, la petite ville portuaire de Lahaiyya (5 000 habitants) développe les mêmes activités que la capitale de l'émirat : la pêche et la flibuste. (...)
Les villages de pêcheurs et d'agriculteurs présentent le même visage que dans le Califat de Zoan. La capitale est la ville de Al-Jawarah. Cettecitéde 6 000 habitants est entièrement sur pilotis, sur la bras sud du Fleuve Rouge (à près de 100 km de son estuaire) Cette ville entièrement en bois abrite le modeste palais du Calife Ma'ad Al Din, qui dirige la ville et l ‘ensemble du Califat. (...)
Certains y sont parvenus mais beaucoup ont péri durant leurs recherches et ces disparitions ont fait naître les rumeurs de malédictions pesant sur lacitéinterdite... L'Emirat de Ka-Sabar : Situé au Nord de la plaine de Durbaïta, l'Emirat de KaSabar a un climat beaucoup plus désertique que ses voisins du sud, et assez proche de celui des royaumes de Taïfas et du Sultanat. (...)
On y trouve quelques villages de pêcheurs, d'agriculteurs et la capitale de l'émirat : Ka-Sabar. Cette ville de 7 000 habitants est entièrement vouée à l'agriculture irriguée et à la pêche. Lacitén'est défendue par aucune muraille et la milice a comme principale occupation d'assurer la sécurité des marchés hebdomadaires et d'assurer le ravitaillement lors des périodes de disette. (...)
D'autres fragments parsèment la région mais leurs traits sont non-humanoïdes. • Sharif Oum'Nasser : Ruines d'unecitédatant de Fahal Sum, On trouve encore sur ce site de hautes et fines colonnes parfois écroulées, d'immenses dalles à moitié enfouies... Les nomades évitent ce lieu qu'ils jugent hantés par les mauvais esprits. (...)
• Azif Al'Wadi : Dans le méandre d'un ancien fleuve aujourd'hui asséché, on devine les restes d'un vaste port (jetée, embarcadères...) • Néfernéda : Capitale de l'empire de Fahal Sum. On ignore où ce trouve cettecitéqui, selon la légende, fut engloutie par le sable du désert, lors d'une gigantesque tempête. Les trésors qu'elle renferme seraient inimaginables. (...)
Mudjahid : Nom donné aux templiers d'Ormazd Mulhaed al Quyat : Second prophète de la religion d'Ormazd, il imposa son culte à toute l'Arabie. Nefernéda : Capitale mythique de la civilisation de Fahal Sum. Cettecitégigantesque aurait été engloutie lors d'une tempête de sable provoquée par la colère d'Ormazd. Nul ne sait où se trouve cettecité. Ormazd : « L'Unique » (Al Alnon) Divinité principale de l'Arabie, vénérée par 80% de ses habitants Rial : Plus petite unité du système monétaire arabe, composée de cuivre et de fer Ribat : Monastère fortifié dédié à Ormazd et destiné à la pratique du Djihad. (...)Présentation générale de la péninsule arabique : Un territoire aride et peu accueillant L'Arabie reste aux yeux des habitants du Vieux Monde une terre étrange, pleine de mystères et de dangers. Cette terre aride est aussi connue sous le nom de Grand Désert du Sud. Et cette réputation n'est pas usurpée : ce territoire plus grand que l'Empire bénéficie d'un climat extrêmement chaud et sec en plaine. Le climat des montagnes d'Arabie n'est guère mieux : Il est aussi sec que glacial. Mais l ...