Château Falkenstein
sur Eastenwest
Contient : compétence (6)(...) Chaque joueur dispose d'une main de quatre cartes. Pour la résolution des actions, le meneur de jeu attribue une difficulté à la tâche dans unecompétencedonnée, parmi les six niveaux définis plus haut. Si le personnage a un niveau égal ou supérieur à la difficulté dans cettecompétence, il réussira. Sinon, il peut ajouter une ou plusieurs cartes à son action pour réussir celle-ci. (...)
Il propose également un système de règles alternatif utilisant un tableau à deux entrées (difficulté et niveau decompétence) pour la résolution. Le hasard simulé par le jeu de cartes est, on l'a vu, contrôlé par les joueurs. (...)
Du point de vue de la mécanique de jeu, leur utilisation est semblable à celle de n'importe quelle autrecompétence. Ces pouvoirs peuvent se révéler puissants, et pour éviter tout déséquilibre dans le groupe, le processus de création des personnages en tient compte, avec plus ou moins de succès suivant les races de Faës. (...)
Bien sûr, plus le sort est complexe, plus il sera difficile à lancer car il faudra rassembler plus d'énergie magique pour cela. Au niveau du système de jeu, s'il existe bien unecompétencede thaumaturgie, celle-ci s'emploie différemment des autres : suivant la complexité du sort et d'autres variables, le thaumaturge doit réunir une certaine quantité d'énergie magique pour lancer son sort. Il en dispose lui-même par sacompétencede thaumaturge, qui lui fournit une base de départ, mais il doit ensuite réunir le reste en puisant dans l'énergie magique environnante. (...)Critique de la Gamme par Cédric Chaillou et Gwénolé Bigot. Imaginez la deuxième moitié du XIXème siècle telle qu'elle est décrite dans les romans de Jules Verne, Bram Stoker ou encore Conan Doyle : machines à vapeur, génies du crime et héros victoriens. Ajoutez à ce monde de la magie et des êtres féeriques, et vous obtenez le monde Château Falkenstein. Un univers ' steampunk-fantasy ' : Voilà un résumé qui ramène à peu de choses toute la richesse du monde créé par R. Talsorian ...