Le Journal de Pochikalaan
sur Chez Demehet au format (158 Ko)
Avant propos : Plus que de révolutionner la littérature française, les pages qui suivent entendent être un récit fidèle des péripéties de quelques héros en un monde nommé Glorantha. Cependant, encore faut-il s'entendre sur le sens du mot « fidèle ». C'est pourquoi l'auteur tient à préciser que certains passages, tant pour des besoins d'écriture que de cohérence du récit ont du être un peu « revu » par rapport aux faits qui furent réellement joués. Néanmoins, que les protagonistes de cette histoire ...Contient : arme (16), armé(...) Il tenait une longue épée de foyëm et approchait les deux mètres de haut, c'était Bogad ! - Nous venions vous parler..., il abattit sonarmevers moi et j'esquivais tant bien que mal, ... du crâne ..., je reculais vers la porte tandis qu'un second coup passait au-dessus de moi, ... de G'Baji. (...)
Je vis mes bras lâcher ma hache et empoigner mon arc, mais aussitôt Scott qui était près de moi, m'étourdit et je perdis à demi connaissance. Seul Galaor possédait encore unearmeen Foyëm puisque de notre côté nous nous battions avec les vieilles armes que nous avait apporté Célèm après notre évasion. (...)
Par ailleurs nous utiliserons à cette occasion la dernière dose de poussière de foyëm que nous avait remise Raurarque. Ainsi donc, nous espérons que l'épée que nous forgerons dans le soc qui contint l'armed'Arkat, héritera des qualités de l'Invincible Epée grâce à laquelle le Destructeur put vaincre G'Baji. (...)
Heureusement pour moi, Galaor prit mon adversaire à revers et d'un formidable coup de lance l'empala si bien que la pointe de sonarmejaillit devant moi ! Je vis du coin de l'oeil qu'Ashra venait au secours d'Auric, et que d'un geste du bras, elle enflammait les poils d'un autre adversaire. (...)
Je me tournais vers Irssin qui se relevait tant bien que mal et qui se soigna rapidement en grimaçant. Il était désormais l'heure de reforger l'épée ! Chacun déposa donc sonarmeen foyëm dans un bassin creusé à même le sol de la salle, lequel avait autrefois du contenir de l'eau pour des ablutions rituelles. (...)
Ensuite nous nous tîmes silencieux quelques instants, chacun priant sa divinité pour la réussite de notre plan et versant en son coeur une petite larme à l'idée de se séparer de sonarme. Puis Irssin se fit pousser une tête de dragon et d'un souffle puissant, il fit fondre toutes nos armes ! (...)
Une lueur bleuté sembla un instant parcourir la lame et les résidus de poussière qui s'étaient mêlés au Foyëm tombèrent au sol ! L'armeétait une épée à deux mains et il fallait certainement une force hors du commun pour la manier correctement. La garde de l'Epée du Porteur, taillée pour unearmede taille inférieure, semblait inappropriée mais l'objectif était atteint ; mes amis tenaient en leurs mains le moyen de détruire G'Baji ! (...)
Celui-ci n'esquiva même pas mon coup, mais à peine ma lame toucha-t-elle ses chairs que mon bras ressentit une vive douleur. Instantanément, monarmeavait fondue ! Je reculais effrayé tandis que Scott, Irssin et Galaor s'avançaient à leur tour pour frapper le dieu menteur. (...)
Scott frappa le premier, mais d'un geste rapide du bras, G'Baji le repoussa et mon ami fut projeté dans les airs. Il tomba et perdit connaissance. Galaor et Irssin, d'un même mouvement ramassèrent l'armed'Arkat et tenant à quatre mains la garde portèrent un formidable coup d'estoc à notre adversaire. (...)
Ebahi, je vis tous mes espoirs s'effondrer. Quoi ! Même l'épée d'Arkat ne pouvait rien contre G'Baji ? Galaor et Irssin manoeuvrant toujours l'armede concert entreprirent de la retirer du ventre de G'Baji, sans doute dans l'intention de le frapper à nouveau. (...)
Irssin, nous a confié que n'ayant pas réussit à trouver le sommeil, il s'était aventuré dans les couloirs déserts du château et avait ainsi trouvé une salle d'arme. Nous nous sommes donc équipés et j'ai choisi une épée large dont la lame semble ne pas trop avoir souffert du temps. (...)
De plus, j'ai demandé à Irssin s'il était possible que ce soit l'âme de l'ancien propriétaire qui se manifeste de la sorte afin de me rappeler le devoir que j'ai de restituer sonarmeà sa famille. Malheureusement mon ami n'a pas pu me donner de réponse. [...] Depuis ce matin de petits groupes de paysans se présentent régulièrement aux portes de la ville. (...)
En ce qui concerne l'aide qu'il pourrait nous apporter, le sorcier nous a dit qu'il ferait son possible si nous parvenons à lui ramener (vivante) une créature originale et de taille correcte telle un bébé troll ou un ourson. Follen, qui ne manque pas de modestie, se chargera tout simplement d'en faire « unearmecontre les Lunars ». Il a par contre reconnu qu'il de disposait pas d'une magie lui permettant de savoir qui sont les cavaliers qui se terrent dans les bois. (...)
Quel est donc le mystère qui se cache derrière ce phénomène ? Je dois avouer que cela commence à m'inquiéter, et si la prochaine fois celui qui déplace monarmene se contentait pas de la déplacer, mais l'utilisait... En fin d'après-midi Irssin et Manson sont revenus porteur d'une bonne nouvelle ; ils ont trouvé un site favorable pour leur embuscade et ont trouvé non loin une grotte qui pourra abriter les membres de leur commando avant l'heure de l'assaut. (...)
Avez-vous vu quelque chose cette nuit-là ? - Hum, attend que je me souvienne... Oui, c'était un matin quelques heures avant l'aube... un homme enarme, âgé tout au plus d'une trentaine d'années est passé non loin de ma cabane. Je me rappelle de sa physionomie qui m'avait marqué à l'époque ; des traits coupés à la serpe, une armure de bronze rutilante des cheveux bruns foncés. (...)
- Les prêtres et prêtresses orlanthi ne seraient pas poursuivis, mais en revanche tous les temples orlanthi seraient fermés ou convertis en temples lunars. - Toutes les armes de Boldhome devraient être déposées et nul sartaritearméne serait plus autorisé en ville, toute violation de cette règle entraînerait la prison ou l'esclavage. (...)