Le Journal de Pochikalaan
sur Chez Demehet au format (158 Ko)
Avant propos : Plus que de révolutionner la littérature française, les pages qui suivent entendent être un récit fidèle des péripéties de quelques héros en un monde nommé Glorantha. Cependant, encore faut-il s'entendre sur le sens du mot « fidèle ». C'est pourquoi l'auteur tient à préciser que certains passages, tant pour des besoins d'écriture que de cohérence du récit ont du être un peu « revu » par rapport aux faits qui furent réellement joués. Néanmoins, que les protagonistes de cette histoire ...Contient : mécanisme (5)(...) Mais la ressemblance s'arrêtait là, l'objet était tout entièrement fait d'or, et il était clair qu'unmécanisme, matérialisé par des leviers et des boutons portant des runes permettait de faire se déplacer l'engin, qui reposait d'ailleurs sur des rails... Néanmoins, aucune rune particulière ne put renseigner Auric quant à l'origine de cette 'carriole', qui n'était à priori pas de facture mostali. (...)
Mais il fallut bien vite se rendre à l'évidence ; il n'y avait pas d'autre passage que celui par lequel nous étions arrivés et il devait donc exister un moyen de quitter cette pièce. Nous réfléchissions à l'existence d'unmécanismequi permettrait de dévoiler un passage ou de déplacer les dalles gravées, lorsque j'eus une idée. (...)
Durant toutes ce manipulations, le piédestal de pierre qui soutenait le bloc n'avait pas cessé de commencer à descendre puis à remonter au fur et à mesure que nous allions et venions avec nos casques pleins de Foyëm. cependant à chaque fois nous nous étions retiré à temps afin que lemécanismene descende pas trop bas. Mais désormais que l'Invincible épée était reforgée, plus rien ne nous retenait plus dans la salle aux colonnades. (...)
Nous nous enfoncions sous le sol de la pièce et c'est le coeur serré que nous nous demandions jusqu'où descendrait cette plate-forme mouvante. Une quinzaine de mètres défilèrent avant que lemécanismequi nous portait ne s'arrête. Nous n'y voyions goutte. Je fis apparaître un mur de lumière qui nous permit de constater que nous étions au fond d'un espèce de puits de forme carrée. (...)
Puisque nous avions remarqué que le simple fait de monter sur la dalle de pierre suffisait à la mettre en mouvement, je décidais de monter à nouveau dessus afin de la réactiver. Aussitôt, lemécanismese remit en route et la pierre sur laquelle je me tenais commença à s'élever. Quand elle se fut élevée d'un mètre je sautais au sol. (...)