Le Manuel du Répurgateur
sur Vox Ludi au format (17.2 Mo)
Contient : démon (5)(...) Krieger, qui avait repris ses esprits, tira de sous sa chemise un pendentif accroché autour de son cou. Ledémons'immobilisa et sembla hésiter lorsqu'il reconnut le symbole de Sigmar : la comète à deux queues frappée du marteau. Le répurgateur se mit à psalmodier une incantation de bannissement tandis que ledémonse ruait sur lui en mugissant. Sa hache se leva, traçant une arabesque sanguine dans les airs alors que sa charge pesante faisait vibrer le sol. (...)
Mais pour punir, il faut tout d'abord débusquer la lie de notre Empire, trouver cette enveloppe corporelle habitée par ledémon, repérer ses habitudes. Et avant de fondre sur lui pour puri?er cet être, il faut réaliser un travail de ? (...)
Cependant des tics de nervosité sont facilement remarquables en sa présence, lorsqu'il semble tendu ou à la recherche d'une « proie », Krieger est sujet a une légère tremblote des mains, sans doute due à la tension que son corps lui in?ige face à l'excitation d'un bûcher ou même pt'être à undémonqui le possède je vous dis. Si vous croisez Mark Von Krieger, il sera facile de le reconnaître, pour cause se sera sans doute le seul homme dans la rue, les gens s'écarteront de son chemin par peur du bûcher. (...)
n vous voyez ce que je veux dire, hein ? Il paraît même qu'on entend pleurer la p'tite les soirs dans leurs chambres... Si c'est pas undémondites moi donc ce que c'est ?! ... » Une courte semaine plus tard, Rolf Liess fut jugé coupable d'appartenance à un culte d'adorateur du dieu de la pestilence Nurgle et de fournir des pièces de viande infectée à ses clients. (...)« - Ils sont prêts, Monseigneur. - Fort bien, que la colère de Sigmar s'abatte sur ces mécréants. Que pas un n'en réchappe. » Le répurgateur Krieger avait déjà prononcé la condamnation à mort de tant d'hérétiques que ces mots sortaient de sa bouche sans que sa voix calme et posée ne traduise le moindre sentiment. Pas de peur, pas d'excitation, pas même le zèle religieux con?nant au fanatisme qu'af?chaient certains de ces acolytes. Ils devaient mourir, pour la simple et bonne raison qu'ils étaient ...