Aron-Edd
sur Eastenwest
Contient : pouvoir (8)(...) L'organisation communautaire est tribale : un chef, un shaman (druide de Denev) et un guerrier sacré voué à Vahngal se partagent lepouvoir. Stavanguern : Les barbares de Stavanguern se divisent en deux populations : l'une, sédentaire, habite les terres centrales et présente les mêmes traits que leurs voisins de Bergenmarth, en moins violents et en moins xénophobes. (...)
Les maisons sont carrées et blanches, elles s'alignent entre les voiles multicolores qui s'étendent au-dessus de la rue, au-dessus des tapis couleur safran sur lesquelles des corbeilles d'osier noir présentent les fruits et les épices des marchands, les cimeterres et les kopeshs, les cuivres et les étains, les tissus immaculés et les parfums... Les grandes familles de la cour, ses seigneurs, sont toutes occupées par les aspirations aupouvoir- soit à la bienveillance, à leur égard, du Dieu Solaire -, aux conspirations et aux machinations. (...)
Ayant autorisé le polythéisme pour la première fois depuis les origines des dynasties, pour cause de tolérance, la ferveur que le peuple portait à son statut de Roi-Dieu a décru au fur et à mesure de la multiplication de cultes critiques à l'égard dupouvoir. Un culte en particulier s'est développé, celui voué au Roi-serpent. Il fut probablement importé de Kardath par des descendants du peuple impie. (...)
Aussi, dans les sphères les plus hautes, Bernhardt, le fils cadet de l'empereur et De Montfard, un Duc de Tyranneau, cousin du roi, associés à Wolfram Riestnerr, un nécromancien - ancien prêtre de Hedrad désavoué pour ses pratiques - réveillent Nehkt Sepherket, un puissant sorcier de l'Ancienne Darkath. Avec son aide, ils veulent accéder chacun aupouvoir. La maladie s'étend dans les provinces historiques, visant dans son cheminement maléfique la famille royale de Tyranneau au bénéfice De Montfard, qui sera l'unique héritier survivant au fléau. Etrangement, lepouvoirde Guérison des maladies du paladin et du chevalier impérial - voir classe de prestige - est impuissant. (...)
De même, le niveau du renvoi des morts-vivants est calculé par addition des niveaux des deux classes. Châtiment du mal : ils usent de cepouvoirà un niveau équivalent à l'addition des deux classes. De plus, à partir du 2e niveau, le chevalier peut châtier le mal en ajoutant 2 points de dommages supplémentaires par niveau (à la place de 1 pour le paladin). (...)
Ce dernier bénéficie d'un jet de sauvegarde de Volonté ajusté d'un malus ou d'un bonus équivalent à la différence existent entre les niveaux additionnés du paladin/chevalier et le niveau de la cible. En cas d'échec, la cible est terrifiée et incapable de mentir au chevalier. Cepouvoirde contrainte peut être exercé une fois par jour et par niveau du Chevalier. Guérison des maladies : Dès le premier niveau, le chevalier acquière lepouvoirdu paladin de guérison des maladie (2/semaine). Une fois tous les deux niveaux, il obtient la possibilité de l'exercer une fois de plus par semaine. (...)Les Terres balafrées sont un univers décrit en particulier dans L'Atlas de Ghelspad, Mithril : la cité du Golem, Reliques et rituels ou encore dans L'encyclopédie monstrueuse. L'univers D&D de Sword and sorcery allie poésie sanguinaire, originalité - relative - et une extrême cohérence ; il égale peut-être les ' anciens ' mondes de Glorantha (RuneQuest), de l'Empire warhammerien et de Ravenloft, et rompt avec une crise de la créativité qui ronge un espace productif moins intéressé par l'innovation ...