Les automates rêvent-ils de moutons à vapeur ?
sur Eastenwest
Contient : porte (13), porté(...) Aristide Doguet, inspecteur de police. Petit et rondelet, d'un certain âge, doté d'une épaisse chevelure couleur de fer, Doguetportela moustache et s'exprime avec un léger accent du sud. C'est à lui que les personnages auront à faire s'ils ' se font trop remarquer '. (...)
84), mais fait aussi partie du plus secret et plus sinistre Ordre Antique des Temps Cthoniens (The Book of Sigils p. 27). Posthumusporteune petite moustache noire, une chemise à col empesé ornée d'un noeud papillon et un chapeau haut-de-forme un peu trop grand pour lui. (...)
Au moment où les personnages sortent de l'ascenseur luxueux et débouchent sur le pallier d'Henri Couturier, deux hommes, qui se tiennent devant laporteouverte du banquier, se retournent vers eux. On aperçoit, dans l'entrée de l'appartement, un troisième homme en robe de chambre, vraisemblablement Couturier. (...)
S'ils interrogent Couturier à propos de Vladelsky, il s'avère qu'il en a une piètre opinion, mais il n'est même pas au courant de son arrestation. Quant aux deux hommes qui le menaçaient sur le pas de saporte, il affirme qu'ils lui réclamaient l'automate. Il ne les connaît pas et ne comprend rien à cette histoire. (...)
La pièce est excellemment jouée, à l'exception du personnage de Capulet, le père de Juliette (tout personnage BON en interprétation peut s'en rendre compte aisément). Une EXCellente Perception permet de repérer que l'acteur jouant Capuletporteune barbe postiche. Et soudain, elle se décolle, révélant une longue cicatrice. La Balafre ! Alors que ce dernier s'avance vers Margaret Saunders, l'air menaçant, le rideau tombe brusquement et toutes les lumières s'éteignent. (...)
C'est du moins ce que clame l'enseigne lumineuse du grand immeuble de quatre étages situé juste en face du théâtre du Vaudeville, rue de la Chaussée-d'Antin. Uneportede verre coulisse automatiquement sur un hall luxueux meublé d'un imposant comptoir de bronze et de confortables fauteuils capitonnés. (...)
Des rideaux de fer barrent l'entrée principale, au rez-de-chaussée, mais la manufacture abrite ses entrepôts dans la rue du Helder, moins fréquentée. L'accès se fait par uneportecochère en bois peint qui ne représente pas un sérieux obstacle (prouesse de niveau BON en Bricolage pour crocheter la serrure ou en Physique pour enfoncer laporte). Laportedonne sur une petite cour carrée, au fond de laquelle une nouvelleporte(non verrouillée, quelle négligence) donne sur un vaste entrepôt rempli de caisses de toutes tailles. De la lumière filtre sous uneporteà l'autre bout du hangar. Si les personnages écoutent attentivement, il apparaît que les gardiens des lieux sont lancés dans une partie de belote acharnée. Il est facile à un groupe décidé de surprendre les hommes et de les maîtriser. (...)
Le couloir débouche sur un sas à hublot qui donne sur un petit escalier de fer forgé qui descend dans un bureau décoré de tentures carmin. Uneportemène aux cellules où sont peut-être enfermés les amis des personnages. Si une confrontation a lieu avec Posthumus, ce dernier, ne se sachant pas ' de taille ', tente de s'enfuir en utilisant ses capsules de gaz soporifique et en exploitant son Agilité. (...)
Fille unique du riche banquier Henri Couturier, Mademoiselle Couturier était, selon son père, de tempérament romantique et exalté,portéà la mélancolie. Venu sur place pour reconnaître le corps de sa fille, monsieur Couturier a déclaré que cette dernière s'était probablement donnée la mort en sautant de l'appareil. (...)
Il y confie déjà le profond ennui que lui inspirent ses proches. Il parle de ses lectures dans le grenier de ses grandsparents, de l'admiration qu'ilporteà Keats ou à Henry Moore. Dans une lettre qu'il destine à sa mère, on se fait une idée de son enfance. (...)Ce scénario se déroule quinze à vingt ans après l'époque habituelle de Château Falkenstein. Durant cette période, les inventions et les progrès technologiques furent légion et il serait fastidieux de les énoncer tous. Néanmoins, pour les besoins de l'histoire, il est indispensable de préciser que dirigeables, aérocars et automotives sont désormais des moyens de transports courants en Nouvelle Europe. PROLOGUE : LA PLUS BELLE VILLE DU MONDE Paris, mai 1889. ' L'Exposition Universelle battait ...