Capistoliane
sur Rêve de Dragon - Dominique Prévot au format (57 Ko)
Un peu d'histoire : Capistoliane est une grande cité maritime, bâtie sur le delta du Panglouste. La ville est répartie sur une série d'îles de plus ou moins grande taille, reliées entre elles par des passerelles et de multiples ponts. La population est très nombreuse. En moyenne, la ville compte quelques cinquante mille âmes. Il existe huit îles principales plus quelques îlots. Ces derniers sont la propriété de marchands et de navigateurs ayant été particulièrement audacieux, ou chanceux ...Contient : ville (9), atelierCapistoliane Un peu d'histoire : Capistoliane est une grande cité maritime, bâtie sur le delta du Panglouste. Lavilleest répartie sur une série d'îles de plus ou moins grande taille, reliées entre elles par des passerelles et de multiples ponts. La population est très nombreuse. En moyenne, lavillecompte quelques cinquante mille âmes. Il existe huit îles principales plus quelques îlots. Ces derniers sont la propriété de marchands et de navigateurs ayant été particulièrement audacieux, ou chanceux, et qui sont devenus suffisamment riches pour s'acheter une petite île. (...)
Il descend en ligne directe du grand Esteban le Découvreur, auteur de plus de vingt-cinq cartes toujours utilisées. UNEVILLEA DEUX FACETTES : Visiter Capistoliane est une expérience enrichissante : ses îles, sa Bibliothèque, sa vie nocturne, sa richesse, ses multiples corporations. (...)
Ils bénéficient alors de bons gages, et de la confiance de leur maître qui peut leur confier des travaux personnels à réaliser de bout en bout. Quand un propriétaire se retire, il cède généralement sonatelierau meilleur de ses compagnons. Pour entrer dans une guilde, il convient de se présenter au maître de la guilde, et de faire la preuve de ses compétences Certaines guildes comme celle des Francs-Maçons et celle des Navigateurs ont des conditions d'admission particulièrement sévères. (...)
Si un cambriolage est commis par un non-affilié, la Pieuvre se charge de retrouver le coupable et de restituer les biens volés, du moins la majeure partie. Si le coupable n'entre pas dans la guilde, il a un délai de trois heures pour quitter laville. Après quoi il est condamné à mort, et le châtiment sera toujours exemplaire : le cadavre sera découvert écorché ou portant des marques de brûlures. (...)
« VOLER UNE RETRAITE TRANQUILLE » : Lorsqu'un personnage important de la Pieuvre décide de se retirer, il arrive qu'il soit autorisé à commettre un cambriolage important. Seule condition : il doit quitter lavillerapidement après. Cela arrive si rarement que la garde ne se donne pas la peine de mener une enquête approfondie sachant qu'elle n'a guère de chance d'aboutir. (...)
Pour ce dernier, c'est une position idéale, qui lui permet de bénéficier de l'appui d'un notable, lui ouvre l'accès à Bibliothèque, et lui laisse du temps de faire de la recherche. Tout cela en échange de quelques services. Cette indépendance vis à vis des forces armées de lavillefait de ces îlots un endroit idéal pour abriter le quartier général du Poulpe. ETRE LECTEUR DE LA BIBLIOTHEQUE : Il est probable que les voyageurs érudits voudront avoir accès à quelques rayons de la Bibliothèque. (...)
A partir de ce moment, l'accès à la salle de lecture est libre tant que l'autorisation est encore valable. L'Echoppe (île n°6) : Sur cette île se regroupe tout ce que lavillecompte de commerces de luxe, de qualité, et d'exotique : orfèvrerie, joaillerie, herboristerie, etc. (...)
En effet, aussi curieux que cela puisse paraître, les écluses sont des propriétés privées qui se transmettent de génération en génération. Capistoliane étant unevilleportuaire, les éclusiers jouissent d'un statut spécial. Là encore, ils se regroupent dans une guilde, la Guilde de l'Ecluse, afin d'éviter qu'une trop libre concurrence ne fasse chuter les prix. (...)
La famine menaçait une grande partie de la cité, le ravitaillement arrivant par la route n'étant pas, et de loin, suffisant. Toute lavilledut céder, et d'autant plus volontiers que nombreux sont ceux qui pensent que les marchands sont déjà des privilégiés. (...)