Influence
A l'attention de Sa Majesté la Reine Lycia d'Ambre : Ambre...contrée réelle, monde béni et donné par la Licorne à ses fils et à leurs sujets de bonne volonté. Encore que la volonté de la plèbe ne soit pas de taille face à celle de 'ceux du sang'. La volonté des princes et princesses est notre karma. L'accomplir n'est ni un honneur, ni un plaisir, ni même un sacerdoce, tant nous étions inconscients de cette puissance, de cette influence, comme la mer est inconsciente que ses va-et-vient cycliques ...Contient : volonté (6)Influence A l'attention de Sa Majesté la Reine Lycia d'Ambre : Ambre...contrée réelle, monde béni et donné par la Licorne à ses fils et à leurs sujets de bonnevolonté. Encore que lavolontéde la plèbe ne soit pas de taille face à celle de 'ceux du sang'. Lavolontédes princes et princesses est notre karma. L'accomplir n'est ni un honneur, ni un plaisir, ni même un sacerdoce, tant nous étions inconscients de cette puissance, de cette influence, comme la mer est inconsciente que ses va-et-vient cycliques qui la voient couvrir et découvrir de vastes étendues de terre en de lentes caresses, sont imputables à l'influence d'astres situés à des lieues de distance. Ma vie, comme celle des habitants natifs d'Ambre, était destinée à être façonnée selon leurs caprices. (...)
Il pouvait par exemple pétrir et animer le végétal, ou même le minéral, le modifiant, l'animant ou l'inanimant àvolonté. L'extraordinaire autorité de notre maître sur la matière en général contrastait avec le banal usage que nous lui vîmes faire de ce pouvoir. (...)
Julian ne réagit pas immédiatement avec véhémence à nos agressions. Il devait être lui-même très occupé, et n'avait pas mesuré l'ampleur de notrevolontétout le temps que je n'aie pas abattu quelques dizaines d'arbres millénaires. ( je sais, c'est impossible, Ambre avait 8 ans à l'époque ). (...)
Tu auras toute la vie pour savoir si tu pouvais seulement te permettre d'imposer à un Prince l'étroitesse de ce choix. La mort, c'est pour longtemps. Tu vivras donc.' Guerre psychologique, détruire lavolontéde l'autre en lui imposant l'idée qu'une déroute serait acceptable...J'avais dès lors perdu. Je le prouvai, sans le savoir : _' NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOONNNN ! (...)